Le manque de contrôle est une faiblesse ༺Sorën Eklund༻

04/03/2023

Age 15 ans

Nationalité/RoyaumeSuédoise

GroupeÉtudiant

Classe (exorcistes/élèves)Traqueur

Métier/RôleÉtudiant

Rang de départPage

Derrière l'écranDerrière l'écran, je suis Mélia et j'ai 27 ans. Il s'agit de mon Premier compte. J'ai connu le forum Via top site. Je pense être disponible 4/7 jours. Enfin, si vous voulez ajouter un petit mot.

Sorën
Eklund
PersonnalitéLe contrôle. Toute la mentalité du garçon est basée sur ce fait. Il n'aime pas être contrôlé, être possédé. Tout manque de maîtrise de soi, lorsqu'il montre des émotions indésirées (comme la peur, la tristesse) ou que quelqu'un en devine sur lui plus que ce qu'il devrait, est perçu comme une faiblesse. Les faiblesses conduisent à la mort. Pour cette raison, il aime voir les autres dans des situations de manque de contrôle. Parce que d'une part cela veut dire qu'ils sont faibles, ~~(Non Sorën…)~~ et de l'autre, s’il arrive à faire perdre son calme à quelqu'un, cette personne n'a pas d’emprise sur lui.

Tout cela fait de Sorën un garçon froid et taciturne. Il manque d'empathie et n'est pas réellement capable de se mettre à la place d'autrui. Assez peu honorable, s'il a un avantage sur quelqu'un, il l'utilisera. Pourtant, si une personne arrive à briser la glace autour du cœur du jeune homme, il découvrira quelqu’un de gentil et loyal. Le Suédois aime apprendre car le savoir… Apporte le contrôle. Plus il maîtrise de sujets et mieux il se sent armé pour affronter les autres. Il est extrêmement curieux et n’hésite pas à poser des questions s’il juge celles-ci importantes.

Paradoxalement, Sorën à un grand respect pour l’autorité et la hiérarchie des exorcistes. Il ne rechigne pas à répondre positivement aux ordres des personnes plus puissantes que lui sans remettre en question les directives du personnel de l’académie.

Il a toujours été un garçon sage qui n’aime pas faire de vagues. Préférant se perdre dans un livre plutôt qu’être quelque part en train de faire une quelconque bêtise. Il a une grande patience et peut facilement rester plusieurs heures à attendre ce qui rendra son apprentissage de traqueur plus facile. Faible au corps à corps, il fuira s’il se retrouve dans une situation qu’il sait lui être défavorable. Certains diront qu’il n’est pas courageux mais pour lui c’est la chose la plus logique à faire s’il veut rester en vie. À quoi ça sert de foncer comme un buffle si c’est pour se faire abattre sans difficulté ?

Description physique De taille plutôt petite, Sorën semble avoir deux voire trois en moins. La majorité du temps on peut voir beaucoup de naïveté et de douceur sur son visage mais il lui arrive d’avoir une lueur plus dangereuse et violente dans le regard. Il tente de ne laisser transparaître aucune émotion. Et généralement il y arrive.

Frêle et rapide, il arrive facilement à se glisser à peu près partout dans un silence presque parfait. Il espère prendre du muscle pendant sa formation pour ne pas se retrouver démuni face à un ennemi qui l’aurait débusqué.

Il sait sourire (Oui) et s’il vous en offre un, vous pouvez savoir qu’il vous porte en haute estime. Ils sont rares mais lourds de sens.

Oh, j'oubliais un détail important. Vous l’aurez remarqué, Sorën a les cheveux blancs. Il a une canitie précoce. Héritage de sa grand-mère maternelle qui semble avoir épargné en partie sa mère qui elle, n’a qu’une moitié de cheveux blancs. Mais le stress qu'il a subi en a accentué les effets. Ce détail ne le dérangeait pas vraiment au début mais aujourd’hui, il aimerait se teindre les cheveux en noir. C’est ici une question plus pratique qu’esthétique. Une chevelure aussi blanche que la neige ressemble davantage à un “Coucou je suis là” qu'à un camouflage. Ses yeux gris sont extrêmement sensibles à la lumière et il préfère la vie nocturne.
.Canitie précose1m55AgilePeu démonstratifVisage doux

Histoire Il est né à Luleå mais n’a aucune attache sentimentale avec la ville. Nomades, les Eklund voyagent depuis plusieurs années maintenant. Originaires de Kiruna en Laponie, les parents ont fait le choix d’une vie d’itinérants. Elias ne supportait plus son travail et avec sa femme Ellen, leur rêve était clair. Voyager. Leu choix premier était de se déplacer en totale déconnexion avec la technologie et se débrouillant pour vivre avec seulement le strict nécessaire.

C’est dans leur aventure que Sorën est arrivé. Ils ont fait une halte de trois ans dans la ville de Luleå puis sont repartis. Vivant dans une tente, se déplançant à cheval, chassant et cueillant leur nourriture, les nouveaux parents ont eu du mal à rester davantage dans un lieu sédentarisé. La reprise de la route leur fit le plus grand bien et Sorën apprécie très vite cette vie. Il ne manque de rien. Son père l'initie à la chasse à l’arc pendant que sa mère s’occupe davantage de l’apprentissage intellectuel. Il a une petite enfance riche et l’absence de relation sociale ne le dérange pas vraiment. Cependant, elle lui cause une lacune importante quand il doit s'exprimer en présence d’inconnus.

Ils ont commencé à vendre des herbes récoltées sur leur trajet ainsi que des vêtements et des objets faits à partir des produits de leurs chasses. L'arrivée d’un enfant les a contraints à faire le choix de mettre l’argent de côté pour la scolarité de leur fils. S'ils ont visité toute la Suède, la famille a fait quelques haltes régulières est assez longues pour parfaire l’apprentissage du garçon. Malgré leur difficulté avec les grandes villes, c’est dans celles-ci qu'ils s’arrentèrent le plus longtemps pour inscrire leur enfant à l'école. Ils ne peuvent plus se permettre de vivre sans penser à l’avenir de Sorën et sa mère ne peut pas lui apporter toutes les connaissances scolaires dont il a besoin. Changer souvent d'école stressait Sorën qui devait chaque fois s'habituer à de nouvelles personnes. Cependant, cela en plus de la vente des objets fabriqués par lui et ses parents corrigeait petit à petit ses difficultés à parler aux autres.

Après 9 ans de voyage dans tout le pays, ils sont arrivés à Stockholm où ils sont restés une année avant de partir à Malmö. Ici, ils firent le choix de rejoindre Trondheim. Ellen avait toujours voulu visiter la cathédrale de Nidaros. L’idée étant de faire une boucle pour présenter leur ville d'enfance à Sorën. Après leur visite de la ville Norvègiène, ils repartiraient en Laponie. Il leur semble qu’un retour chez eux après quinze ans de voyage et un enfant âgé de treize ans est une bonne excuse.
...

Devant la cathédrale à la façade gothique, Sorën a eu un drôle de vertige. Mettant cela sur la hauteur de l’édifice, il n’en fait pas part à ses parents. Au fil de cette journée pourtant, le garçon se sent de moins en moins bien et c’est pire au fur et à mesure qu'ils approchent du Trondheimsfjord. Ellen et Elias ont insisté pour aller voir le Fjord le plus proche mais au fond de lui, le garçon ressent une peur, un danger imminent. Ils ne doivent pas aller là-bas. Pourtant, ses parents ne l'écoutent pas. Ils sont comme déconnectés de leur propre vie et ne semblent même pas se rendre compte qu’ils sont bizarres, comme envoûtés. Sorën déglutit, suivant ses parents par obligation. En se baissant pour ramasser un détritus dans l’idée de le mettre à la poubelle, il se rend compte que c’est un étrange prospectus. Il y est question d’une académie. Et au lieu de jeter comme il pensait le faire, Sorën le range dans sa poche.

Et là, il assiste à quelque chose d’effrayant. Ses parents s’enfoncent dans l’eau glacée du fjord. Et il fait tout pour les empêcher. Il hurle mais ils ne l’entendent pas. Il saute à leur poursuite mais sa petite taille ne rivalise pas face à la nage spectaculaire de ses parents. C’est impuissant qu’ils les regardent plonger. Pour ne plus jamais refaire surface. Seul dans l’eau, il hurle, pleure. Il est en perte totale de ses moyens, ne se rend même pas compte qu’il est à deux doigts de s’évanouir à cause du froid glacial de l’eau. La dernière chose qu’il voit avant de sombrer dans le néant, c'est le visage inquiet d’un inconnu.

…

C’est la douce chaleur d’un feu qui le réveille. En ouvrant les yeux, il se rend compte qu’il est dans un campement rudimentaire. Il s’est endormi et a fait un cauchemar ? Ça doit être ça. Rassuré, il appelle ses parents pour leur raconter ce rêve étrange. Mais l’homme qui se plante devant lui n’est pas son père. Et alors il comprend. Ce n’était pas un rêve. Cet homme est celui qui l’a sorti de l’eau.

On lui donne une soupe chaude et du pain mais l’homme ne dit pas un seul mot. Alors Sorën n’en dit pas non plus. Il se contente de boire et de manger. Il se rend compte alors qu’il meurt de faim et se surprend à dévorer son repas. Une fois fini, il ose alors.

– Qui…? Comment… ? Depuis quand ?

Les réponses viennent assez rapidement. L’homme s’appelle Calum, il était sur dans son bateau quand c'est arrivé donc il a vu le petit et c’était il y a deux heures. La vraie question aurait été de lui demander pourquoi ? Pourquoi il est ici au bord d'un feu et pas à l'hôpital ? Pourquoi ne pas avoir prévenu les pompiers ? Une part de lui est rassurée d'être dans une ambiance dont il a l'habitude mais une autre est confuse et inquiète de ce détail important. Il allait poser la question quand l'homme en pose une autre.

- Tu as de la famille, petit ?
- Ma mère et mon père … Ils se sont… Noyés… Je n’ai pas réussi à les ramener…
- Ce n’est pas de ta faute, petit. Tu as quelqu’un où je peux te déposer ?
- Je… Non…
- Tu n’as pas de maison ?
- Non.
- Tu as un prénom ?
- Sorën.

Calum lui propose alors de le déposer à la police. Ne sachant pas quelle marche à suivre il accepte. Quand il raconte son histoire aux forces de l’ordre il a l'impression qu'on prend pour un fou. Pourtant, ils ont fouillé les fonds du Fjord à l’endroit indiqué par le garçon mais ils n’ont rien trouvé. L'enquête prend plusieurs jours et pendant ce temps Sorën est sous la protection de la police. Mais ils ne trouvent rien. Ses parents se sont volatilisés. Si les gendarmes semblent prendre le témoignage du garçon au sérieux, les gens eux pensent qu’il a fugué de chez lui, qu’il a assassiné ses parents et qu’il les à jeté à la mer, indiquant une fausse piste. Sorën écoutait les rumeurs en état de choc. Il ne lui en faut pas beaucoup plus pour en venir à croire que les rumeurs allaient devenir vérité aux yeux de la loi. Évidemment, Calum s’est lui aussi envolé après avoir déposé l'enfant. Il était son seul témoin. Le garçon se sent seul et abandonné. Comme il n’y a pas de preuve pour prouver la culpabilité potentielle du mineur, il ne sera pas jugé. Pour la police, les parents ont subi un choc thermique et le courant les a emportés plus loin. Après l'enquête il fut envoyé dans un foyer pour les mineurs sans tuteur légaux. Ils l'ont aidé à refaire ses papiers que ses parents avaient sur eux avant de disparaître.

- Nickar n'est qu’un mythe, ce gamin n’a pas trouvé mieux comme excuse ? Entend-il dire dans le bureau du directeur.
- Il n’a pas parlé d'entités démoniaques. Son discours n'avait rien de vraiment surnaturel...

Quand il a voulu s’approcher davantage pour écouter, une femme est arrivée, coupant court son espionnage imprévu. Nickar ? Démoniaques ? Qu’est-ce que ça voulait dire ?

Sorën a passé un an et demi dans ce foyer. C’est lors d’une sortie en ville pour des achats avec un surveillant qu’il voit une affiche étrange. Elle parle de cette académie bizarre. Le souvenir de la mort de ses parents lui revient en mémoire. Avant leur nage mortelle, il avait vu la même chose ! Il déglutit, persuadé que ça allait provoquer un drame. Mais rien ne se passe. Jusqu’à ce qu’il aperçoive un visage connu.

- Calum…?
- Quoi ?
- Excusez-moi… Est-ce que.. Je peux aller voir cet homme ? Je le connais.
- Fais vite.

Il ne se le fait pas prier. Il court jusqu’à l’homme qui l’attend.

- Salut petit. Tu as un peu grandi.
- Vous m’avez laissé tout seul !
- Tu étais avec la police. Et là avec un homme. Tu n'es pas seul.
- Ils m’ont tous pris pour un fou et un meurtrier.
- Mais tu n’as pas été jugé.
- Je venais de voir mes parents se jeter à l’eau et ils m’ont accusé…
- Dit petit, tu vas me faire la morale encore longtemps ? Je n’étais pas là car j’ai dû aller ailleurs mais je gardais un œil sur toi. Au cas où..
- Vous…
- Tu veux quitter cet endroit ?
- Hein ? Pour aller où ?
- Dans une école qui apprend la chasse des démons. Comme celui qui à tuer tes parents.

C’est ainsi que Sorën s’est envolée pour l’Ecosse. On lui avait offert une voie qui lui permettrait de faire quelque chose pour venger ses parents. Il ne comprenait pas très bien mais ça lui semblait mieux que de rester ici où il n’apprenait rien.

Lugh Tuatha Dé The world's finest assassin

11/11/2022

Hello Sorën, bienvenue sur Pandémonium ! 407225880

Le début de fiche m'a l'air prometteur, j'ai hâte de lire la suite 555788922

Bon courage pour la fiche de ton personnage ! N'hésite pas si jamais tu as des questions ou besoin d'un coup de main !

07/02/2023

A revoirBonsoir !

Ton personnage m'a l'air très intéressant, je l'aime bien, mais il y a quelques points qui me chiffonnent et que je te demanderais de modifier en conséquences.

Description physique : l'albinisme.
C'est une maladie, grave avec des soucis de santé. Tu ne peux pas décider de prendre que le fun et délaisser le reste. Je te demanderais donc de choisir quel type d'albinisme possède ton personnage entre le type 1A, 1B voire les syndromes d'albinisme (le type 2 et 3 étant réservées au noir, pas besoin).
https://www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/Fiche.aspx?doc=Albinisme_pm
Je te laisse te documenter aussi sur orpha.net, mais tu oublies ta vue perçante, c'est pas compatible. On respecte les maladie, s'il te plait.
Si tu as des questions, n'hésites pas à me contacter, j'ai beaucoup étudié le sujet pour d'anciens personnages. Je serais ravie de t'aider.

Sinon, tu peux jouer sur une canitie précoce (Causes : génétique, carence en vitamine B12, stress, ...) ou limite le vitiligo. Dans les deux cas le stress de la vie de ton perso' peut l'expliquer et pour le vitiligo, tu auras ta sensibilité à la lumière sans les effets néfaste de l'albinisme.

Histoire :
J'ai bien aimé la lire, mais j'avais un peu l'impression de lire une histoire qui se passe au moyen-âge. Comment se passe la scolarité de Sorën ? La technologie de 2054 dans leur vie ? La Suède est un pays avancé, ils peuvent être si coupés du monde sans que les services sociaux n'interviennent ?

Ensuite, l'accusation de meurtre de Sören n'a aucun sens. On ne va pas accuser directement un gamin de 12 ans traumatisé sans raison. Les enfants sont les derniers accusés à moins qu'il y ait des preuves tangibles. Au contraire, on les rassure... je ne comprends pas le moove des forces de l'ordre.

Donc, voilà, j'aimerai ces corrections et plus de détails sur ta fiche pour une meilleure compréhension. Désolé si le pavé fait peur, mais tes corrections sont de l'ordre de quelques phrases, je te demande pas de tout refaire :).

Bon courage

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17/02/2023

Validé(e)!Bravo à toi, Sorën ! te voilà fin prêt(e) pour la grande aventure sur le forum !

Gégé à toi pour ta validation, ça fait vraiment plaisir de voir qu'enfin des étudiants sur le forum ! J'ai beaucoup apprécié ta fiche, elle est simple mais claire et très bien écrite (malgré quelques fautes qui n'enlèvent rien à la compréhension de la présentation) et il me tarde de te croiser en RP, que ce soit avec mon prof ou même Vass (sait-on jamais) !

La Pitie à fait son choix, je tiens donc à te souhaiter la bienvenue au sein de la Maison Scarlet Salamander, symbole de foi ! (oui tu es le premier)

Maintenant que ta présentation est validée, il est temps pour toi de finaliser quelques petites choses : tout d'abord en allant recenser ton avatar ici puis de faire ta fiche technique et si tu le souhaites ouvrir ton journal de bord. Avant de te laisser filer vers ta destinée, le staff t'octroie 50 Crowns en guise de cadeau !

Merci à toi et bon et bon RP parmi nous !