Devenir sourd pour mieux écouter - Ulrich Bähr {terminé}

Age26 ans

Nationalité/RoyaumeAllemande

GroupePersonnel

Classe (exorcistes/élèves)Invocateur

Métier/RôleProfesseur de Rhétorique et Diplomatie

Rang de départExorciste Junior>

Derrière l'écranDerrière l'écran, je suis Otonros et j'ai 24 ans. Il s'agit de mon Premier compte. J'ai connu le forum grâce à Hati. Je pense être disponible 5/7 jours. Enfin, si vous voulez ajouter un petit mot.

Ulrich
Bähr
PersonnalitéAuprès du grand public, Ulrich renvoie une image plus que positive de lui-même. Il est charismatique et sociable. Il connait tous les codes de la société et sait naviguer dans une discussion pour amener son interlocuteur là où il le désire. Le Westphalien connait les bons mots et les bons gestes que ce soit pour contrôler une conversation ou juste pour ne pas paraitre mal poli. D’autant plus, quand il parle, il donne envie d’être écouté et rares sont ceux qui osent le couper. À vrai dire, c’est quelque chose qu’il déteste et cela se voit dans son regard. Le jeune homme ne le fera jamais, et il attend qu’on ne le fasse pas en retour.
Cependant cette connaissance de la langue et son don pour la parole ne desservent pas son côté acerbe. Ce n’est pas toujours intentionnel, mais il a une forte tendance à ponctuer ses phrases par des remarques parfois désobligeantes. Dans certains cas, ce n’est que pour aider son interlocuteur à s’améliorer mais la tournure de phrase fera que cela appuie juste là où ça fait mal.

L’Allemand est également très honnête. Il ne ment que très peu, même s’il préfère parfois énoncer des demi-vérité ou en omettre une partie afin de servir au mieux ses objectifs. Certains diront que cela revient au même que de mentir, mais pas pour lui. Il y a un monde de différence. Celui où les autres croient ce qu’ils veulent car c’est ce qui les arrange et où Ulrich n’est là que pour les aiguiller !

De plus, que ce soit avec lui-même ou avec les autres, Ulrich est quelqu’un de très dur et d’exigent. Il a besoin d’atteindre un certain niveau de perfection, et ne supporte pas la médiocrité. Ainsi, il n’hésitera pas à critiquer ouvertement d’autres personnes qui abandonne rapidement ou se contentent d’objectifs à moitiés atteints. C’est dans ces moment-là que le côté consciencieux et méticuleux du Westphalien ressort le plus. Il aime le travail bien fait et ne se contentera pas de moins. D’autant plus qu’il faut que ce soit carré et rationnel. Il faut suivre les règles, le professeur ne supporte pas que l’on sorte du cadre pour faire n’importe quoi.
Malheureusement, les proches du jeune homme ont tendance à ne pas trop apprécier cette facette de sa personnalité. Voir même à la détester. Son charisme disparait alors pour laisser place à un autoritarisme qu’il affiche presque naturellement. Il ne suggère plus mais ordonne, il ne donne plus son avis mais juge. Presqu’à la façon d’un tyran… Étrangement, il passe de l’un à l’autre très facilement et ne s’en rend pas toujours compte.
En conséquence, Ulrich a appris à ne compter que sur lui-même. Depuis un très jeune âge, il se montre très indépendant. Il fait les choses seul et à sa manière. De cette façon, il ne peut pas être déçu et il est certain que ce soit terminé comme il le voulait. De plus, ce n’est pas naturel pour lui de demander de l’aide. Au contraire, s’il s’agit d’un gros projet, il préférera rester un peu en retrait afin d’organiser les choses au mieux. Après le travail bâclé, ce qu’il déteste le plus c’est le désordre.

Enfin, les deux plus gros défauts de l’Allemand sont son impatience et son vice pour les jeux d’argent. S’il contrôle ce dernier en évitant tous types de casinos et autres lieux de paris, il cache mal son empressement. S’il peut prendre le temps qu’il lui faut pour mener une discussion là où elle doit aboutir, il a besoin d’en voir les résultats au plus vite. Il déteste attendre. Alors on ne le fait pas attendre !

Description physique JD’un point de vue physique, Ulrich n’est pas très impressionnant. Il mesure à peine plus d’1m70 pour une soixantaine de kilos. Si ce n’est bien que du muscle, il n’est pas pour autant très impressionnant à voir. Au contraire, il donnerait plutôt envie de le sous-estimé : chose qu’il ne faut pas faire. De plus, le jeune homme est en quelque sorte un stéréotype allemand : il possède des cheveux mi-long d’un blond si clair qu’ils paraissent presque blanc. Quant à ses yeux, ils sont d’un bleu turquoise pratiquement pur.
C’est principalement ce dernier point qui impressionne la majorité des gens. Il arrive à faire passer toutes les émotions qu’il désire à travers son regard et sans le moindre mot. Si on dit souvent que les yeux ne mentent jamais ou qu’ils sont le reflet de l’âme, les siens sont des arnaqueurs professionnels dans ce cas.

Au contraire, la silhouette du jeune homme semble constamment ouvert aux autres. Il se tient généralement bien droit, les bras grands ouverts. Sa démarche est assurée et ses gestes amplis d’une grande chaleur. À l’opposé de ses yeux, ce sont mains qu’il contrôle mal. À la façon des italiens, certainement un héritage de ses voyages, il parle avec ses deux appendices et les retient difficilement. Elles diront alors ce que sa bouche ou ses yeux ont refusé de déclarer.
Taille moyenneImberbeLarge sourireBlond clairYeux turquoises

HistoireI. PASSÉ

Notre histoire commence à Münster dans le Royaume de Prusse en l’an 1860. Anselm Bähr est le fils d’un menuisier assez réputé dans la région et, étant l’ainé, son avenir est déjà tout tracé. Il reprendra le commerce et le développera afin de subvenir aux besoins de sa famille. Il choisira une femme dont le statut est au moins aussi élevé que le leur, et le couple aura plusieurs enfants dont un garçon. Ce dernier reprendra ensuite l’affaire et ainsi de suite. Toutefois, le jeune Westphalien a d’autres projets. À même pas 20 ans, ses ambitions sont déjà démesurées : il veut plus qu’une vie d’artisan. Il veut des titres, des terres, des serviteurs. Il veut le pouvoir. Malheureusement pour lui, ce n’est pas aussi facile d’être anobli. Les terres sont limitées, et les duchesses célibataires ne courent pas les rues…

Cependant, ce n’est pas suffisant pour arrêter le Prusse. Si les moyens classiques ne sont pas possibles, il compte bien employer des méthodes plus… inhabituelles. Dans un premier temps, il tombera principalement sur des charlatans ou des copies maladroites d’anciens livres. Rapidement, il concentra ses recherches sur certains traités précis et au bout de plusieurs mois de recherche, il trouva le Saint-Graal. Le Testaman de Salomon. Tout dans son éducation chrétienne lui criait que ce livre ne lui apporterait que du malheur et la déchéance de son âme, mais il n’en avait rien à faire. Son ambition était plus forte que cela.
À l’intérieur des dizaines de créatures et autres démons sont décrits mais un seul l’intéresse : Aguarès. D’après les écrits, il est capable d’offrir la noblesse à n’importe qui à condition de le payer correctement. Il est aussi très dangereux, mais l’Allemand à confiance en lui et envers les consignes du traité démoniaque.

On est le 22 septembre 1860. Le temps est maussade, le ciel pâle et la lumière du Soleil vacille derrière l’horizon. Le vent souffle et gronde comme une voix venue d’outre-terre tandis que des nuages épais recouvrent petit à petit le firmament d’une épaisse couverture. Un temps idéal pour ce qui s’apprête à être accompli. Il n’y a plus qu’à attendre l’instant parfait…

Au moment précis où l’astre céleste disparait, Anselm entame alors sa litanie. Un texte qu’il a appris par cœur en vue de cet instant précis. Au carrefour de sa vie, il articule syllabes après syllabes dans une langue qu’il ne connait pas. Il ne comprend rien de la signification du texte, mais il sent que cela fonctionne. L’air s’alourdit, le vent mugit comme jamais auparavant et le ciel tonne d’une façon menaçante… et presqu’humaine.
Alors qu’il prononça son dernier mot, tout s’arrêta. Comme si la Nature était en suspension. Autour du Westphalien, la pluie s’est arrêtée et il n’y a plus la moindre lumière. Les nuages occultent complètement le ciel étoilé, et le Soleil a disparu. Aucun son ne parvient jusqu’à ses oreilles et pourtant, dans cette obscurité totale, il sait qu’il a réussi. Il le sent au plus profond de lui.

Deux yeux se posent alors le jeune homme. Étrangement, malgré l’absence de lumière, ils voient parfaitement leur cible. Celui qui les a appelés. Ils s’approchent doucement, sans émettre le moindre son. Il est impossible de les voir venir et pourtant, un frisson glacé les précède. Leur simple présence suffit à faire chuter la température. Le cri d’un rapace résonne non loin.

Anselm se retourne juste à temps pour voir les deux yeux se poser sur lui. Ils sont à plus de trois mètres du sol et toisent l’homme qui commence à perdre sa contenance. Une voix s’élève alors, comme venue des entrailles de la Terre.

Qui es-tu pour m’avoir convoqué ? Moi, Aguarès, Grand-Duc des Enfers, Seigneur de l’Orient et Destructeur de l’Honnêteté ! Non, ne me réponds pas maintenant. Tu dois vouloir quelque chose… Des titres très certainement. C’est toujours pour le pouvoir qu’on m’appelle de toute façon. Pendant quelques secondes, il se tait et fixe le Westphalien avec les yeux d’un chasseur. Avec le regard d’un prédateur qui a piégé sa proie. Je vois, ce désire brûlant de pouvoir n’aura pas mis longtemps à consumer ta fois envers le Faux Dieu. Il n’aura pas fallu grand-chose pour te faire basculer de l’autre côté. Très bien, je vais te l’accorder !

Tandis que l’homme n’ose toujours pas bouger, le démon fait le tour du pentagramme et récupére toutes les offrandes avant de disparaitre. C’est enfin fini, il est un noble et il le sent déjà… ou du moins il le croit. Avant qu’il n’esquisse le moindre mouvement, Aguarès réapparait devant lui. Cette fois-ci il n’a pas les mains vide. Dans sa main droite, il tient un parchemin enroulé et dans la gauche… Soudainement, le Westphalien a une envie irrépressible de vomir mais il n’arrive pas à ouvrir les lèvres ni même à se pencher en avant. Au lieu de ça, un goût de bile envahi sa bouche et il se force à ravaler le peu de liquide qui a pu remonter jusqu’à sa cavité buccale.

Tu vois bien, tu es maintenant un Marquis, un Markgraf, mais comme tu t’en doutes cela à un prix. Et c’est ce pauvre homme qui l’a payé.

D’un geste nonchalant, il jette ce qu’il tenait en main et la tête sans corps roule jusqu’aux pieds de l’homme récemment anobli.

Anselm Bähr ramène ce trophée chez toi, affiche-le au-dessus de ta cheminée que toute ta famille soit au courant de ce que tu viens d’accomplir. Ce n’est qu’à ce moment-là que tu recevras le document qui prouve ton nouveau titre. Il sembla alors réfléchir, mais cela ne dura qu’un instant. Tout bien réfléchi, je vais t’offrir un deuxième don. Un cadeau dont pourra profiter ton ainé, puis son propre ainé, puis son propre ainé et ainsi de suite pour l’éternité. Je ne sais pas s’ils te remercieront pour cela, mais une chose est certaine : ils se souviendront de toi.

Une vive douleur commence alors à brûler dans le creux de son ventre, et rapidement elle se répand dans tout son corps. Elle le brûle de partout. Elle est si vive et insoutenable qu’il s’évanouit rapidement. C’est la seule façon pour que son corps puisse la supporter. Ce n’est qu’une éternité plus tard, certainement le matin même, qu’il se réveille. Dans un premier temps, il croit à un rêve mais des réminiscences de la douleur l’empêchent de réellement y croire. De plus, son « trophée » est toujours là, à sa droite, le fixant avec ses yeux macabres.

Le temps passa, mais le nouveau Marquis resta bien ancré dans les mémoires. Comment une famille pourrait oublier l’homme qui avait apporté un titre et une malédiction à ses descendants ? C’est impossible.

Bien des années après Anselm, le fondateur de cette lignée maudite, ce fut Josef Bähr le premier à se lever contre les Démons. Les titres n’avaient plus grande importance dans ce monde d’après-guerre, et rester cloîtré chez soi n’avait aucun intérêt. Sans oublier que cela gâchait le don qu’ils avaient reçu. Certes les ainés de la famille, étrangement toujours des hommes, devenaient sourds mais ils avaient un don exceptionnel pour les langues. Quelques semaines passées dans un pays étranger, et ils maîtrisaient le dialecte comme s’ils étaient des natifs. Personne n’aurait su dire que leur langue maternelle était l’allemand. Malheureusement pour eux, une fois la surdité bien installée cette capacité devenait en partie inefficace. S’ils parlaient toujours couramment les langues apprises, c’était pour eux presqu’impossible d’en apprendre une nouvelle à l’oral.
Josef décida donc qu’il était temps que sa famille commence à voyager. Il postula alors comme diplomate auprès des ambassades allemandes, afin de voyager à travers l’Europe. Son objectif principal était de parfaire son don avant qu’il ne soit trop tard. Il alla de Bruxelles à Rome, en passant par Lisbonne et Madrid jusqu’à Londres. C’est à ce moment-là qu’il entendit parler de l’Académie Pandémonium. Une école pour les chasseurs de Démons. Un établissement qui allait changer le cours de leur destin.

II. PRÉSENT

Normalement vous devez déjà savoir plusieurs choses à mon propos. Je suis sourd depuis le 26 octobre 2023, c’est-à-dire précisément le jour de mes 26 ans. Depuis mes 16 ans, je perdais progressivement l’audition et, dix ans plus tard, mes tympans sont devenus complètement imperméables au moindre stimulus. Néanmoins, cela ne m’a pas tellement affecté. Je m’y étais préparé. Grâce à mon don, et aux voyages à travers le monde dans le cadre du travail de mon père, je maîtrise un peu moins d’une trentaine de langue à l’oral et quelques-unes de plus à l’écrit. Je sais lire sur les lèvres et suis capable d’utiliser le langage des signes. Bref, à moins de parler dans mon dos, je comporte pratiquement comme une personne « normale ». Enfin presque…
Vous devez également savoir Exorciste. Non ? C’est dans les traditions de ma famille, ou du moins depuis mon arrière-grand-père. Notre don nous permet d’opérer dans pratiquement n’importe quel pays, et le métier de diplomate est excuse parfaite pour ces voyages. De plus, si l’intervention devient un peu trop publique, nous avons les connexions pour enterrer l’affaire. Cependant, je n’ai pas eu une formation « traditionnelle ». Lors de mes 18 ans, l’Académie était fermée comme la Géhènne était inaccessible : il n’y avait donc plus de démons à combattre. Au lieu de ça, mon père m’a formé comme il a pu. Il ne voulait surtout pas que les savoirs se perdent ! Ce n’est qu’en 2051, lorsque l’école réouvrit ses portes, que je pus compléter ma formation. À la fin de celle-ci, je décidai de mettre mon expérience à profit et postulai comme professeur de rhétorique et de diplomatie. Un travail taillé à ma mesure.

Cependant, ce ne sont pas là les seules choses à savoir à mon sujet. Il y a tout un tas d’informations, plus ou moins importantes, qu’il faut aussi connaitre. Enfin, c’est toujours intéressant de les avoir en tête…
La première concerne ma mère. Elle est décédée en couche. Un peu moins de trois après ma naissance, en juillet 2030, ma sœur devait venir au monde. Cela aurait été un des plus beaux jours de ma vie si le Destin n’avait pas eu d’autres plans pour notre famille… À l’époque, je ne comprenais pas bien ce qu’il se passait mais une chose était certaine ma mère souffrait. Son ventre était plus rond que la Terre, et il semblait prêt à exploser. Et au final, c’est pratiquement ce qu’il se passa. Alors que les contractions commencèrent quelques jours avant la date prévue, mes parents se rendirent en urgence à l’hôpital. D’autant plus que les contractions étaient beaucoup plus douloureuses qu’elles ne devraient l’être, et le col ne se dilatait pas suffisamment. Il ne restait qu’une solution : la césarienne. Ce fût une vraie boucherie. Enfin, je suppose vu ce que les médecins nous ont dit et ce que m’ont père m’a raconté, mais les souvenirs sont souvent bien loin de la réalité… Bref, cela se passa mal. Le bébé fut sorti du ventre avec succès, mais ce ne fut pas sans conséquences. Ma mère avait perdu beaucoup de sang, et les sutures ne tenaient pas. Les chirurgiens tentèrent en vain de lui transfuser du sang sans arriver à la stabiliser. Deux heures plus tard, on nous annonçait sa mort. Avec le temps, les souvenirs de ma maman se sont bien entendu effacés progressivement mais de ce jour-là il me reste toujours deux souvenirs : l’image de ma petite sœur Elli me souriant et la voix de ma mère de disant que tout ira bien. Aujourd’hui encore, ces quelques mots résonnent dans mes oreilles quand je suis au plus mal.
À côté de ça, le reste de ma vie est assez « banal ». J’ai alterné entre les écoles privées et les cours à domiciles selon les pays où notre père nous emmenait. Je me suis fait des amis partout sur Terre, bien que j’ai perdu contact avec certains. J’ai beaucoup appris de certaines cultures, là où j’ai préféré ne pas en reproduire d’autres. Malgré son travail très prenant, mon père à toujours essayé d’être présent autant que possible pour ma sœur et moi. Surtout quand il s’agissait de notre formation d’exorcistes : selon lui la Géhène n’allait pas rester fermée indéfiniment et les années lui ont donné raison. Nous avons également passé la majorité de nos étés en Allemagne, chez nos grands-parents. Ils étaient un peu comme notre référence en matière de stabilité. Chaque années, on les retrouvait dans la même maison et nous faisions plus ou moins les mêmes activités. J’en ai gardé presqu’autant de souvenirs que de nos voyages à travers le monde.

III. FUTUR

Personne ne saurait prédire le futur, pas même les démons, les dieux et encore moins les humains. Cependant, je sais ce que je veux faire du miens. Je veux faire en sorte que plus personne ne souffre à cause des créatures venues des Enfers et surtout je veux asservir Aguarès. Le tuer si possible. Je veux lui faire payer ce qu’il a fait à notre famille. Je n’existerais peut-être pas s’il n’avait pas maudit mon arrière-arrière-arrière-arrière-arrière-grand-père, mais il n’avait aucun droit de le faire. Bref, l’avenir est plein de mystères et je n’ai qu’une envie : c’est de les découvrir.

Ukyo Saionji Dr. Stone

11/11/2022

Welcome Ulrick ! 1697136925

Bon courage à toi pour la suite de ta présentation, il me tarde de la lire ! 407225880

N'hésite pas si jamais tu as des questions !

27/01/2023

CODE:

Validé(e)!Bravo à toi, Ulrich Bähr ! vous voilà fin prêt(e) pour la grande aventure sur le forum !

Franchement, j'adore ton personnage, il est trop adorable, comme tout le temps en fait. J'ai toujours autant de plaisir à lire tes fiches et j'ai hâte de pouvoir voir ce petit bonhomme évoluer au sein de Pandémonium ! En plus, le staff est dans le même sens, on a vraiment un coup de coeur pour Ulrich. Alors c'est sans attendre que nous te validons, en espérant que tu te plaises parmis nous !

Maintenant que ta présentation est validée, il est temps pour vous de finaliser quelques petites choses : tout d'abord en allant recenser votre avatar ici puis de faire votre fiche technique et si vous le souhaitez ouvrir votre journal de bord. Avant de vous laisser filer vers votre destinée, le staff vous octroie 50 Crowns en guise de bienvenue parmi nous !

Merci à vous et bon et bon RP parmi nous !